Matza di Lourde & Tonino Carotone
Il fallait que je te comprenne pour savoir te pardonner
Il a gagné les femmes
par l’illusion d’un humaniste
et d’un croyant qu’il a créé
et les intentions qu’il a cachées.
Dévoreur d’âmes,
un désir qui comblait et rassasiait,
à en juger par ses projets.
Mais c’était un string. Un coq.
Si quelqu’un essayait d’y rencontrer
un homme dans la vraie vie,
il trouverait un enfant acculé et mal aimé,
un gâchis narcissique qui,
au lieu de courir dans
les jupes de sa mère,
s’est enfui d’elle pour qu’elle
ne secoue pas son fantasie,
qu’il possédait toutes les qualités
pour charmer les femmes
et tromper les foules,
par pure vanité.
En fait, ce n’était pas un coq.
C’était un homme-poulet.
L’excitation l’avait sur la langue
pendant le temps
où elle a triché et menti.
Il s’est lui-même qualifié
de révolutionnaire,
j’ai simplifié l’artefact
en un escroc sans art
Au-delà de l’évidence,
ce n’était qu’un ego infantilisé
en attente d’un massage permanent.
Garçon, tu es pardonné
dans Ser est une sorte de préparation du nombril
Toute ressemblance n’est que pure fiction
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