Matza di Lourde
Si bémol
Tu as touché mon âme en elle-même... et j’ai dansé,
avec toi dans les yeux, tâtonnant ton corps dans l’obscurité.
Passant par des octaves, des gammes interminables
et tu as tourbillonné sur moi comme un vin mousseux !
Jusqu’à ce que je trouve mon désir rassasié du tien dans ma bouche,
Intercaler les instruments, de la basse au clavier
Sur mes jambes la marque de ton bâton,
et des doigts qui cherchent des limites, octaves d’Aphrodite !
Fa dièse et se termine en la mineur, promettant l’infini, mon amour.
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